Wow c'est vraiment un jeu de pucelles. Y'a rien à faire de gore ni de violent, on tue des monstres, on remplie des quetes et on s'amuse en guilde ou on se tape sur la gueule... Non franchement, le jeu est linéaire...

Mis à part qu'on peut devenir adict, je vois vraiment pas de malveillance dans cette activité. Vraiment pas.

Je savais que je m'en prendrais plein la gueule, bizarrement je le savais. Mais j'ai rien fais de plus. Me suis comportée comme une petite conne immature et dépressive. Voilà ce que je suis.

J'en ai marre, je veux plus de ma vie, c'est pas vrai je suis pas libre, je suis dépendante de tous les services médicaux que je sais même pas gérer. J'suis qu'une conne, qu'une gamine.

Je veux que tu chiales, je veux que tu crève d'en avoir mal.
Vois, viens, tiens, prends ma peine dans tes mains.
Expulse la douleur détruit le reste et pleure.

Viens vert moi achève moi connard vient encore une fois détruit ce qu'il me reste et dégage de là. Regarde ici dans ma douleur ,dans la verdure saignante de mon steak de corps, poupée maniaque et démembrée je ne sais plus écrire. J'apprends...


Vois, viens, tiens, prends ma peine dans tes mains.
Expulse la douleur détruit le reste et pleure.


Encore une fois tu frappe petit con destructeur t'as pas compris que j'en ai rien à foutre de tes droits divin, tu te crois plus fort que moi, je sais même pas qui tu es, il elle on, peut-être que t'as jamais existé.


Espèce de con je t'écoute encore. J'veux plus voir ta sale gueule dans ma glace, casse toi vraiment quoi qu'est ce que t'as contre mes rimes et mes mots putrides? Ils te déplaisent alors disparait de là! Désinvoque toi!


Vois, viens, tiens, prends ma peine dans tes mains.
Expulse la douleur détruit le reste et pleure.


T'es qu'un sale batard de merde qui me prend la nuit lorsque mes TOCS ravivent mon épuisement extrème, Tu crois vraiment que j'ai que ça en tête? Je suis pas née pour toi d'ailleurs, casse toi, casse toi vraiment de là!

Voit, viens, tiens, prends ma peine dans tes mains.
Expulse la douleur détruit le reste et pleure.


J'en ai marre de t'écouter quand mon paternel gueule, j'en ai marre de t'écouter quand je me réveille à cinq heures du mat', fais chier vraiment, vas t'en j'arrive plus à écrire à cause de toi, ou grâce à toi. Y'a eu une époque ou t'étais là et j'ai écris mais c'est révolu, casse toi maintenant j'en ai marre de mourir pour toi, dégage ma liberté elle est pas là!

Ma haine ne veut pas sortir pourtant le monde est noir, j'ai pas d'avenir dans cette prison qui n'est même pas dorée, j'veux sortir de là mais mes chaines m'entravent. Y'a des choses que je peux pas changer, mais je voudrais commencer par toi qui m'incite à me détruire, monstres d'ombres qui n'apparaissent  que dans ma tête mais si réels en vrai, élégance de la mort, tout ça j'en veux plus pour moi. J'veux plus rêver selon tes dires. J'veux plus mourir pour toi. Je sais même pas qui t'es mais casses toi.

J'sais même plus écrire, mais qui ira me lire?
Ce blog est désertique, fini le cirque,
Révolte effleurée et mort certaine,
Bientôt j'attends la haine...

Je suis dépassée. Je le sais. Je suis has been. Je voulais juste... Ecrire une histoire mais d'autres ont eu cette idée aussi. De quoi ai-je l'air maintenant?
D'un truc moche et dépassé.

Qui grille ses cartouches...

Comme la lave qui coule... DANS TA GUEULE!
Elle explose elle implose, voit sa domination terrestre, elle va tous nous tuer et nous déparver.
Aux enfers nous seront roi parce que la luxure n'aura plus de limites,
les meurtres et les suplices s'engageront à ne jamais suffir et enfin je connaitrais l'extase,
le temps de ma haine est acheminé à son paroxysme,
celui de la vertue s'enflamme peu à peu sous les désir partagés d'une union libre et puissante.

Je sais pertinament ce qui va se passer à chaque secondes, je sais le courroux qui m'engage à dire oui je ferais,
Mais je ne sais pas l'éviter,
Alors je suis un monstre,
Alors je suis un monstre,
Un monstre aux sombres cordes vocales,
Apaisante je remue,
Tel un serpent dans la vase, tu vas voir,
Epie moi je vais sauter,
A ta gorge en pensant bien faire,
Mordre dans ta succulente chair,
Viens ici, petite proie,
humain timide, que je te noie,
Dépose un baiser sur mes lèvres,
Je grillerais celui comme tous les autres,
Je ne veux plus refaire les mêmes erreurs mais ça ne marche pas,
Ma quête s'achève bien là, divine substance mortelle,
Que ce poison parental,
Sufoccant et blème,
Imite mes crie d'agonie de mon âme.